Quelle est donc l’histoire des saints qui ont donné les noms de certaines de nos municipalités?

 

Il y a d’abord Saint-Hippolyte qui était un tribun romain, un intellectuel puissant grâce à la sa profonde intelligence et son immense connaissance des saintes Écritures. On peut de plus le prier pour acquérir de la force physique et il est aussi le grand patron des gardiens de prison. Il se présentait comme un antipape, mais cela n’a pas empêché l’église de lui accorder le titre de saint.

 

Saint-Jérôme, quant à lui, possède le grand honneur d’être le saint patron de la littérature, des traducteurs et des bibliothécaires. C’est le 30 septembre qu’on devrait lui rendre hommage.

 

Dagobert II était le roi des Francs de 676 à 679. Considéré comme un martyr et reconnu comme saint par l’Église catholique depuis le IXe siècle, il est fêté le 23 décembre. Sainte-Adèle était la fille de Dagoberg II. À la mort de son époux, elle devint religieuse et fonda une abbaye, celle de Pfalzel et elle fut autant respectée que réputée.

 

Sainte Agathe est sûrement l’une des plus grandes martyres de son temps, car lorsqu’elle refusa d’épouser l’homme à qui elle était promise, elle fut terriblement torturée, les seins mutilés, jetée dans un brasier et donc brûlée vive.

 

Saint-Sauveur fut nommé ainsi, car il avait le pouvoir de chasser les démons, de guérir les malades. On le disait prophète et on le croyait le fils de Dieu, donc Jésus, qui serait venu sur terre pour sauver les humains des maux tant physiques que psychologiques dont ils souffraient.